Lac Chatyr-Köl. De l'autre côté du lac, les montagnes marquent la frontière chinoise.
Les rives du lac sont dans une sorte de "no man's land" où il faut un visa chinois ou un "border permit" pour avoir le droit d'y mettre les pieds (même si techniquement on est encore au Kirghizstan...). Pour franchir la frontière située dans une zone "sensible", il faut être accompagné d'une personne kirghize ayant une autorisation spéciale et d'une agence de tourisme chinoise... Impossible pour nous d'aller plus loin tous seuls. On a atteint le bout du monde.